Quand je me lève, P est déjà réveillé, assis à la table du salon devant son ordinateur. Il regarde une série américaine en langue originale. Nous buvons un café en parlant de sa journée d’hier, des visites de bibliothèques, avec le SLAM (Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne), du dîner qui s’est est suivi. Il repart peu avant dix heures. Je descends au bureau du sous-sol finir d’empaqueter les colis, passe ensuite à la poste, au relais colis. Avant 14h, j’ai achevé les tâches de la journée, saisi deux séries de revues L’avant-scène Théâtre dans mon stock. Après une visite chez la dentiste, je peux enfin me reposer un peu, lis un article sur la possible découverte du cercueil de Joachim Du Bellay sous la cathédrale Notre-Dame de Paris. Je m’endors, puis pars en promenade avec M, que J m’a ramenée hier soir. Ce fut la fête des grands jours ! L’automne est déjà là et, avec lui, un semblant de nostalgie, d’amertume.