Lever tard. Hier soir, j’ai parlé avec AC plus de deux heures au téléphone. La conversation s’est terminée alors que je baladais M, vers 1h du matin, dans une nuit de brouillard froid. Demain, AC et D s’envoleront pour la Norvège où ils passeront les fêtes de Noël. Peu de colis au matin, seulement deux. J’ai envoyé mes commandes consciencieusement chaque jour de la semaine, afin qu’elles puissent arriver à temps, le cas échéant. Aujourd’hui, les livraisons ne sont plus garanties par les sites de vente avant le 24 décembre, il est donc naturel que les ventes se tassent. Je profite donc du gain de temps pour emmener M au grand pré. Sur le chemin du retour, elle prend peur quand les premiers pétards de la saison retentissent. Je me suis toujours demandé ce que produisent ces explosions sèches et lourdes à ses oreilles, mais il en résulte une terreur incontrôlable. A la poste en début d’après-midi pour la dernière fois de la semaine. S’en suit une session de saisie de stock, une sieste, une autre balade. Comme chaque soir de la semaine, j’ai entrepris une seconde session de saisie, ce qui m’a permis de rattraper mon retard de l’année. Mon stock s’est enrichi de près de 300 unités depuis un mois. Au sous-sol, un rangement devient nécessaire. J’avais commencé la besogne lundi soir sans retrouver le courage les soirées ultérieures.
Je n’ai parlé à personne aujourd’hui.