Je n’emballe que deux colis ce matin et commence à préparer le marché aux livres de M qui aura lieu demain. Ce dernier me permet de ranger une partie des livres accumulés dans le bureau, rangés en piles et laissant un accès étroit de la porte au fauteuil à roulettes. A la poste à 14h, puis au relais colis puis au supermarché où je demande quelques cartons, mais la récolte est maigre. Je commence à charger la camionnette. La pluie se met à tomber, lourde et froide. Le temps est annoncé meilleur pour demain. Je reprends Joann Sfar en milieu d’après-midi, m’assoupis quelques instants. Après un travail de saisie de stock, AC appelle d’Angleterre, où le temps n’est pas au beau non plus. Elle participe à une conférence de professeurs. Je m’installe devant l’ordinateur, reprends la saisie de stock jusque tard. J’enregistrais un peu de retard depuis hier. L’après-midi a filé avec la visite à KB, les courses puis la visite des plombiers pour déboucher une canalisation. Et je recevais des messages depuis P, qui me laissaient rêveur. Après ses examens, j’espérais pouvoir aller la voir durant un week-end de mai, un jour férié, mais elle tient à préparer ses examens de juin. Je ne l’ai pas revue depuis l’année dernière.
Je suis heureux de revoir les confrères demain, de parler avec eux, avec des clients. Je viens de passer deux semaines sans presqu’autre rencontre que celle de J, pour transmettre M.