Constance ou les pratiques solitaires
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0020258
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Après Monsieur et Livia, voici Constance, le troisième volet de ce que l'on pourrait appeler le «Quintette d'Avignon». Au terme d'un été provençal au goût de Paradis avant la Chute, la Seconde Guerre mondiale va disperser la petite colonie anglaise d'Avignon et c'est non seulement en France, mais en Suisse et en Egypte, que Durrell nous invite à suivre les nouvelles aventures de Constance, de Livia, de Blanford et de quelques autres. L'on retrouve ici les idées chères à l'auteur, à commencer par celle de la genèse du roman, dans lequel le romancier est à la fois créateur et créature, et qui sert de point de départ à d'innombrables jeux de miroirs. Davantage peut-être encore que dans les précédents volumes, Durrell nous fait partager sa perception désabusée de l'incohérence cosmique et de la crise de notre civilisation occidentale paralysée par les théories de Freud et la froide rationalité de la morale judéo-chrétienne...
Aspect | Broché sous jaquette, sans manques ni accroc, livre en très bon état ayant subi un peu l'usure du temps, nom manuscrit en page de faux-titres |
Collection | Du Monde entier |
Date d'édition | 1984 |
Editeur | Gallimard |
Format | in-8 |
Langue | français |
Langue d'origine | Traduit de l'anglais |
Lieu d'édition | Paris |
Nb pages | 434 |
NB Volume | 1 |
Nom Auteur | Lawrence Durrell |
Particularités | Achevé d'imprimer le 11septembre 1984 |
Reliure | broché |
Traducteur | Paule Guivarch |
Sujet | Littérature |
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« J’ai transposé des vers arabes en vers français par le truchement d’une traduction en prose. Mais je crois n’avoir, à aucun moment, trahi l’auteur, car je voulais surtout rendre exactement ses images, sa façon de sentir et d’évoquer, et cela en vers, comme il l’avait fait lui-même. »