Le merle de novembre
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Date de disponibilité: 01/01/2016
C’est une histoire telle que la vie en fait, pleine de bonne volonté et de maladresse, difficile dans un village où l’on ne peut admettre qu’on partage son bien avec une fille de pauvres car, Irénée, un veuf plus très jeune, se prend d’amour pour une petite servante, à peine sortie de l’enfance, mais que la vie a déjà malmenée. Roman d’amour, certes, mais avant tout un portrait du monde rural et de la condition de la femme aux alentours des années 1940…
A propos de l'auteur | Charles François Landry est né à Lausanne en 1909. Il a passé une partie de sa jeunesse dans le sud de la France avant de s’établir sur les rives du Léman. C’est l’un des seuls écrivains romands de ce siècle qui ait réussi à vivre de la plume, mais ce choix lui a souvent fait côtoyer la misère. Il a débuté par des poèmes édités en Avignon en 1929, puis passa au roman et à des récits historiques et lyriques. Il décrit avec talent les paysages et les mœurs de la Provence ainsi que la campagne vaudoise et met en scène des gens simples aux prises avec les difficultés de l’existence. Souvent, leur courage et leur ténacité sont récompensées. Ils découvrent alors que, loin des choses matérielles, la vie vaut la peine d’être vécue, surtout lorsqu’elle est transfigurée par l’amour. Moraliste, il a également donné une dimension polémique à son oeuvre par les chroniques qu’il a réalisées pour différents journaux. C’est à Glérolles, près de Vevey (Vaud), qu’il est mort le 23 février 1973. |
Aspect | Usure d'usage. Dos insolé. Ex-libris en page de garde. |
Collection | NRF |
Date d'édition | 1946 |
Editeur | Gallimard |
Format | in-12 |
Langue | français |
Lieu d'édition | Paris |
Nb pages | 224 |
NB Volume | 1 |
Nom Auteur | Charles François LANDRY |
Reliure | broché |
Sujet | Littérature |
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« J’ai transposé des vers arabes en vers français par le truchement d’une traduction en prose. Mais je crois n’avoir, à aucun moment, trahi l’auteur, car je voulais surtout rendre exactement ses images, sa façon de sentir et d’évoquer, et cela en vers, comme il l’avait fait lui-même. »